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Du 9 au 11 février 2022 se tient le sommet One Ocean à Brest dans le but de mobiliser la communauté internationale quant aux actions concrètes à prendre pour sauver les océans. Une urgence de plus dans l’agonie de la planète. Première partie : état des lieux.
En quelque 500 millions d’années, la vie sur Terre a quasi disparu à cinq reprises. Nous sommes à l’aube de la sixième extinction de masse qui désigne l’homme comme grand responsable. Pourra-t-il quitter le banc des accusés ? L’industrie du luxe doit montrer l’exemple.
Le nouveau marché des pièces génériques, ces fameuses « vraies-fausses montres », a le vent en poupe, susceptible de fourvoyer les collectionneurs les plus avertis. Malheureusement, le plaisir de dénicher la pièce rare est devenu bien plus rare que la montre elle-même…
Experte en complications astronomiques, la petite marque allemande a rejoint il y a un an le groupe Franck Muller. Pour le bonheur de chacun.
Le débat peut paraître sans fin. Nourrie de tradition et d’histoire, l’industrie horlogère ne peut faire l’impasse du débat. Quelles sont ses valeurs ? Ont-elles changé ? Ont-elles encore un quelconque avenir ? Christophe Golay, spécialiste du « sur-mesure » qui ne cherche ni gloire ni pouvoir, nous livre ses réponses.
« Watchmakers + Since Always - » tel est le slogan de la Maison Instruments & Mesures du Temps (I&MT), sise à Lausanne qui, pourtant, compte à peine 5 ans d'existence… Une impertinence de plus, pourrait-on penser, dans un univers qui n'en est jamais avare. Comme dans toute définition promotionnelle, il y a certes une part d'exagération, voire de rêve, mais également une réalité tangible : la passion entretenue au fil des générations par un petit nombre de collectionneurs à la base de ce nouveau venu dans le périmètre des montres de prestige. Explications avec Pablo Dana, fondateur de I&MT. Propos recueillis par Christophe Roulet
Malgré la globalisation, les marchés gardent leurs habitudes de consommation. Les Européens passent ainsi pour des conservateurs alors que les Chinois achètent en néophytes. Quant aux Italiens, ils ne font rien comme les autres. Comment les marques gèrent-elles cette pluralité ? En se concentrant d’abord sur les collections fortes.
