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En annonçant la fin prochaine de la mythique Nautilus en acier référence 5711/1A, Patek Philippe a-t-il pris la bonne décision ? Dans tous les cas, les experts saluent, les prix flambent et les aficionados sur liste d’attente maugréent.
Breguet fêtera le 26 juin de cette année les 220 ans du brevet déposé par l’horloger Abraham-Louis Breguet sur le tourbillon. Cette invention technique, une des rares qui a traversé les siècles sans prendre une ride, est aujourd’hui devenue un passage obligé pour toute Maison qui prétend à l’excellence horlogère.
Dès l’aube de nos civilisations, la mesure du temps s’est conjuguée avec les progrès de l’humanité. Il en a été de même pour l’aviation, qui a fait appel aux Maisons horlogères pour des produits fonctionnels, précis et robustes. Une classe à part entière au design à part.
Dès l’aube de nos civilisations, la mesure du temps s’est conjuguée avec les progrès de l’humanité. Il en a été de même pour l’aviation, où l’horlogerie a naturellement accompagné les premiers fous volants, ces nouveaux aventuriers de la navigation et leurs drôles de machines.
Dès l’aube de nos civilisations, la mesure du temps s’est conjuguée avec les progrès de l’humanité. Il en a été de même pour l’aviation, où l’horlogerie a naturellement accompagné les premiers fous volants, ces nouveaux aventuriers de la navigation et leurs drôles de machines.
Tout comme à Genève, c’est au XVIe siècle que l’horlogerie mécanique arrive pour la première fois au Japon. Mais si, dans la cité de Calvin, le vecteur a été le protestantisme, c’est le catholicisme qui a été celui de l’horlogerie japonaise.
Dès la fin du XIXe siècle, le Japon s’est doté d’une industrie horlogère de premier plan. Le 150e anniversaire des relations diplomatiques entre la Suisse et le Japon fêté cette année donne l’occasion de revenir sur ce formidable essor qui n’est pas sans avoir croisé celui de la production helvétique.
Au cours de son règne (1788-1808), le roi Charles IV d’Espagne réunit une importante collection de pendules acquises auprès des plus grandes écoles européennes. Le monarque, héritier de cette passion royale pour l’horlogerie, développa un intérêt particulier pour cet art dès son enfance et alla même jusqu’à réparer et fabriquer des mouvements avec les outils dont il disposait dans son atelier au palais. En janvier 1769, pour son mariage avec la princesse Marie Louise de Parme, également passionnée d’horlogerie, « une pendule de porcelaine de Sèvre, d’un goût exquis » arriva à Madrid, cadeau de Louis XV à la princesse qui en fut extrêmement ravie.
