Il semblerait que nous n'ayons pas trouvé pas ce que vous recherchiez Une nouvelle recherche?
En quelque 500 millions d’années, la vie sur Terre a quasi disparu à cinq reprises. Nous sommes à l’aube de la sixième extinction de masse qui désigne l’homme comme grand responsable. Pourra-t-il quitter le banc des accusés ? L’industrie du luxe doit montrer l’exemple.
Les levées de fonds et les projets de fusion marquent cette fin d’année horlogère, en parallèle avec l’explosion des enchères et des ventes de seconde main. Devenues des produits d’investissement, les montres capitalisent l’intérêt des financiers.
Depuis la crise déclenchée par l'avènement de la montre à quartz dans les années 1970, former de nouveaux horlogers n'était plus une priorité. Or aujourd'hui, l'industrie a un besoin pressant de spécialistes, dont l’ampleur rappelle l’époque des réductions d’emploi. Une maison à Schaffhouse n'a toutefois jamais cessé de former des horlogers : IWC.
Les marques utilisent Hong Kong comme tête de pont pour leur distribution en Asie. Le phénomène transparaît clairement dans les chiffres sur les exportations où la région autonome caracole en tête du classement. Des facilités logistiques et financières sont les premières raisons de ce succès.
Malgré la globalisation, les marchés gardent leurs habitudes de consommation. Les Européens passent ainsi pour des conservateurs alors que les Chinois achètent en néophytes. Quant aux Italiens, ils ne font rien comme les autres. Comment les marques gèrent-elles cette pluralité ? En se concentrant d’abord sur les collections fortes.
En septembre 2006, Rolex a acheté un terrain dans la ville de Bienne. À l’issue d’une consultation publique qui s’est tenue le 1er juin 2008, la marque a maintenant l’autorisation de construire. Rolex souhaite y développer un nouveau complexe qui intégrera les bâtiments existants au sein d’une seule unité, ce qui facilitera considérablement la logistique.
